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Le blog dj catch

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12 mars 2009

Critique Standing Operating Procedure

En 2003, le monde a réagit avec horreur devant des photos de prisonniers irakiens humiliés et abusés par des militaires américains, à la prison de Abou Grahib. Le réalisateur Errol Morris, dans son film Standing Operating Procedure, nous amène au cœur de cet enfer, en nous faisant voir l’horreur vécue par ces prisonniers.  Un film qui veut conscientiser en choquant son public, mais qui le tient, tout de même, captivé jusqu’au bout.

Ayant pour mission de conscientiser le public, ce film remplit bien son mandat. Les images et les textes de ce film documentaire sont très durs et choquants. Les cœurs sensibles doivent s’abstenir. Ce documentaire est basé sur une enquête ayant pour but de découvrir ce qui s’est réellement produit dans la prison d’Abou Grahib. En effet, ce documentaire dénonce les mauvais traitements infligés aux prisonniers irakiens aux mains des militaires américains. Le film, met en évidence, comment un peuple peut en déshumaniser un autre, au point d’en arriver à commettre les pires atrocités. Parmi ces abus, on a pu apercevoir sur des photos des prisonniers nus, masqués, enchaînés, attaqués, mais surtout humiliés. On peut convenir que ces prisonniers étaient coupables de crimes et donc passibles de sentence. Toutefois, cela ne donnait pas le droit aux américains de les humilier, de les attaquer et de les abuser. En agissant de la sorte, les américains devenaient eux-mêmes des criminels, pires, en fait, que ceux qu’ils se donnaient le droit de torturer.

Les mesures entreprises par les Etats-Unis n’effaceront pas la tache à l’image de ce pays qui se dit pourtant, évolué. En effet,  les Etats-Unis ont pris des sanctions contre les militaires impliqués et ceux-ci sont passés en cour martiale où ils ont été condamnés à la prison. Espérons, pour eux, qu’ils n’auront pas le même type de traitement.

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302 mots

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14 décembre 2008

Bye, Bye Sean

M.N. Le 30 novembre dernier, l’attaquant des Stars de Dallas, Sean Avery, s’est mérité une suspension de la ligue, d’une durée de six matchs, en raison des commentaires inappropriés qu’il a tenu au sujet de son ex-copine Elisha Cuthbert. Celle-ci fréquente actuellement le jeune défenseur étoile des Flames de Calgary,  Dion Phaneuf.

Les commentaires de la peste des Stars ont été interprétés comme étant une attaque directe envers Dion Phaneuf et même pour autant envers le défenseur du Canadien de Montréal, Mike Komisarek, qui lui aussi avait fréquenté Cuthbert pendant une courte période.

Le commissaire de la LNH, Gary Bettman, a déclaré que Sean Avery exprime des regrets pour ses récents propos déplacés et qu’Avery aurait demandé une évaluation professionnelle de sa maîtrise de la colère. Avery a aussi présenté ses excuses lors d’un communiqué:

«Je m'excuse d'avoir offensé les partisans de la LNH, le commissaire, mes coéquipiers, mes entraîneurs ainsi que l'organisation des Stars de Dallas. Comme plusieurs d'entre vous le savez, j'aime bien mettre le feu aux poudres autant sur la glace qu'à l'extérieur, mais sachez que cette fois, je suis allé trop loin.»

Les réactions recueillies peu après l’événement, que ce soit de la part des co-équipiers d’Avery ou de la direction des Stars, ne lui étaient aucunement favorables. Entre autres, l’entraineur Dave Tipett des Stars de Dallas, a affirmé qu’il pouvait comprendre que les joueurs s’échangeaient parfois de insultes sur la glace mais, en faisant de sdéclarations publiques, son joueur était allé trop loin. La situation de Sean Avery ne s’est pas améliorée lorsque Tom Hicks, le propriétaire de Stars de Dallas, a annoncé qu’il appuie la décision de Gary Bettman  de suspendre Avery et que si la ligue ne l’avait pas supendu c’est l’organisation des Stars qui l’aurait fait.

Alors qu’Avery vient tout juste de compléter sa suspension de six matchs, les Stars ont annoncé dans un communiqué, aujourd’hui, que l’attaquant n’évoluera plus dans leur organisation. Malgré que l’été dernier, les Stars avaient fait signer à Avery, un contrat de 15.5 millions  pour quatre saisons, l’organisation affirme elisha_and_averymaintenant qu’un retour au jeu ne serait souhaitable ni pour l’équipe ni pour le joueur. Le départ d’Avery est comparé à un divorce et les détails de cette rupture de contrat reste à négocier.

30 novembre 2008

Un gouvernement de coalition, c'est quoi ça

I.J.K.L. La plupart de vous ont entendu parler du branle bas de combat à Ottawa, la semaine dernière. Peut-être, vous êtes-vous demandé de quoi il s’agissait. Sans être un expert, je peux vous dire ce que j’en comprends. D’abord un peu d’histoire, en 2003, Jean Chrétien a établi un plafond aux contributions aux partis politiques, soit un maximum de 5000 dollars par individu ou entreprise. Afin de compenser la perte de revenus aux partis politiques, il a instauré une allocation de 1.95 dollars par vote.

En arrivant au pouvoir, Stephen Harper a réduit la contribution maximale à 1100 dollars, sans toutefois compenser en augmentant l’allocation par vote. Jeudi dernier, Stephen Harper annonçait qu’à partir du 1er avril 2009, il éliminerait complètement l’allocation du gouvernement aux partis politiques. Bien sûr, le parti conservateur aussi est atteint par cette règle, mais né d’alliance de mouvements populistes financés à coup de petites contributions les coffres de ce parti sont bien pleins. Alors bien que les changements priveront le parti conservateur de 10,2 millions par année, sa survie n’est pas en danger. Il en est tout autrement pour le parti libéral du Canada qui historiquement a bénéficié d’importantes donations de la part d’entreprises.

On pourrait croire que Stephen Harper veut sauver des fonds publics dans une économie de récession, en effet, ses changements sauveront 27 millions au gouvernement. Par contre, pour un premier ministre empressé de redresser l’économie, il a choisi d’attendre le prochain budget pour mettre en place des mesures de relance de l’économie contrairement aux autres démocraties occidentales qui se sont empressés de le faire. De plus, il est surprenant que Stephen Harper, avec son grand souci d’économie…, ait choisi d’augmenter son cabinet de 11 membres avec toutes les dépenses que cela implique.

L’opposition croit que le gouvernement devrait mettre en place des mesures économiques de manière à mieux faire face à la crise financière. De plus, les autres partis rejettent la proposition du premier ministre d’éliminer la contribution publique aux partis politiques. Ces questions pourraient faire l’objet d’un vote de confiance. Suite à un vote de non confiance de la part des partis d’opposition, le gouvernement conservateur pourrait être renversé. Un gouvernement renversé si rapidement après le début de son mandat n’aurait pas nécessairement le droit d’en appeler à un nouveau scrutin.

Jean_HarperLe gouvernement devrait alors se tourner vers la gouverneur générale Michaëlle Jean qui pourrait inviter le parti libéral et le parti néo-démocratique et le Bloc québécois à former un nouveau gouvernement, donc un gouvernement de coalition. D’ailleurs, on rapporte que Jean Chrétien et Ed Broadbent ont déjà passé les journées de jeudi et vendredi à négocier les termes d’une entente potentielle entre libéraux et néo-démocrates.

Michaëlle Jean se trouverait en terrain inconnu puisque aucun gouvernement canadien n’a été remplacé dans de telles circonstances. En 1985, il y a eu un exemple, en Ontario, où un gouvernement conservateur minoritaire avait été défait très tôt dans son mandat et il y avait eu une entente entre David Peterson et Bob Rae. Le lieutenant gouverneur avait nommé le libéral, David Peterson, premier ministre. Ce n’était toutefois pas une vraie coalition puisque les néo-démocrates n’avaient pas occupé de poste au sein du cabinet.

Même si le Canada n’a aucun exemple de véritable gouvernement de coalition, cette formule politique est relativement commune ailleurs dans le monde, comme en Europe. En effet, la chancelière d’Allemagne, Angela Merkel, dirige une coalition. Par contre, les analystes politiques disent que le système politique des pays où il y a des coalitions, sont différents du nôtre et leurs chances de succès supérieures.

Depuis vendredi, le premier ministre Harper travaille fort à tenter de trouver la solution idéale pour éviter que son gouvernement ne soit renversé par une motion de non confiance de la part de l’opposition coalisée. Sa première décision a été de retarder le vote d’une semaine, soit jusqu’au 8 décembre afin d’avoir plus de temps pour désamorcer la crise. Aussi, il est prévisible que le gouvernement annonce que le budget sera devancé afin de faire cesser les accusations d’inaction.

Samedi, le ministre des Transports, John Baird a déclaré que le gouvernement Harper choisirait de reculer face à la mesure voulant l’élimination de la contribution gouvernementale aux partis politiques. Par contre, Gilles Duceppe maintient que le recul de Harper ne changera pas sa décision  et que son parti entend toujours voter contre l’énoncé économique entre autres parce qu’il ne contient aucune provision en rapport avec les secteurs manufacturier et forestier.    

Une des stratégies de Stephen Harper est que les conservateurs inondent les média et rappèlent au public qu’un gouvernement doit être élu et non déterminé dans les coulisses. Toutefois, comme le rappelle Gilles Duceppe, en 2004, Stephen Harper avait lui-même signé une lettre énonçant des intentions de former un gouvernement de coalition en cas de chute du gouvernement libéral minoritaire de Paul Martin. C’est fou comme ça fait changer d’opinion d’être au pouvoir!

23 novembre 2008

Bienvenue Monsieur Obama

obamaE.F.G.H.

Avec son entrée en fonction en janvier, le président élu Barack Obama aura de nombreux défis devant lui, la politique étrangère n’étant pas le moindre. Les relations avec l’Europe de l’est présentent particulièrement de difficultés. Dix-sept ans après la fin de la guerre froide, les pays de l’Europe de l’est se retrouvent au centre des tensions entre les Etats-Unis et la Russie. 

La situation en Géorgie demeure précaire. George Bush avait accusé la Russie de ne pas respecter la souveraineté territoriale de la Georgie. Pour sa part, le premier ministre russe, Vladimir Poutine, accuse les américains d’avoir provoquer le conflit afin de permettre à leurs bateaux de pénétrer dans la mer Noire. Depuis longtemps, les États-Unis font pression pour que la Géorgie entre dans l’OTAN. La Russie s’inquiète de voir l’OTAN s’étendre jusqu’à ses frontières. D’ailleurs la France s’oppose à ce que la Géorgie joigne l’OTAN parce que l’équilibre entre la Russie et l’Europe en serait ébranlé. Le président Obama se rangera-t-il du côté de la France ou continuera-t-il de tenter de recruter les pays voisins de la Russie pour faire

partie de l’OTAN.

Si le recrutement de pays de l’Europe de l’est se poursuit, les conflits en Ukraine pourraient s’empirer et ce pays pourrait devenir la scène d’événements tels que l’on a vus en Géorgie. L’Ukraine veut se joindre à l’OTAN pour se protéger contre la Russie, mais la politique intérieure est extrêmement tendue avec une partie de la population qui a une allégeance à la Russie et une autre au monde occidental.

En effet, en 1954, le leader de l’Union soviétique de l’époque, Nikita Krouthev, fait cadeau à l’Ukraine de la Crimée. La Crimée est un territoire très convoité, puisqu’il représente l’accès à la Mer noire. Selon un accord entre la Russie et l’Ukraine, la flotte de la marine russe a accès au port de Sebastopol en Crimée jusqu’en 2017.

Par contre, le gouvernement ukrainien a imposé des limitations sur l’utilisation du port de Sebastopol par la flotte russe. Les navires de guerre russes doivent donner un avis de 72 heures et obtenir l’accord de Kiev pour entrer ou pour quitter le port de Sebastopol. Les russes maintiennent que ces limitations vont à l’encontre de l’accord. De plus, il est prévisible que la Russie refusera de renoncer à ce privilège malgré la fin de l’entente. La population de la Crimée est russe, loyale à la Russie et est prête à se battre pour défendre son territoire. Le reste de l’Ukraine craint la Russie et voudrait se joindre à l’OTAN pour se protéger contre la Russie. Selon Vladimir Pozner, l’ancien porte-parole de l’URSS auprès des média, l’OTAN est un organisme proaméricain et entièrement dépendant des Etats-Unis. Vu le potentiel explosif de la situation politique en Ukraine, les choix d’Obama auront des conséquences majeures pour l’Europe.

Les États-Unis veulent installer des bases anti-missiles en Pologne et en République tchèque, ce qui menace la Russie et provoque sa colère. Les américains maintiennent que les bases anti-missiles ont pour but de protéger l’Europe contre des attaques de pays tel que l’Iran. Par contre, la Russie ne croit ni à la menace de l’Iran, ni aux intentions généreuses des États-Unis. Vladimir Poutine menace de pointer ses missiles sur la Pologne si celle-ci reçoit les bases anti-missiles américaines sur son territoire. Vladimir Pozner souligne que les États-Unis réagiraient fortement si la Russie allait s’implanter au Mexique, par exemple alors, il compréhensible que la Russie menace de répliquer si les États-Unis s’installent dans les pays voisins, dans ses sphères d’intérêt.   

Les avis sont partagés à savoir si Obama annulera le projet des bases anti-missiles en Europe de l’est. Le professeur Andrew Pierre de l’Université de Georgetown croit qu’il est possible que le président élu Obama annule ce projet. Il souligne que le public américain n’est pas au courant du projet donc l’annuler ne rencontrerait pas nécessairement beaucoup d’opposition. Pour sa part, Vladimir Pozner, l’ancien porte-parole de l’URSS auprès des média, ne croit pas que le président Obama changera la direction des politiques étrangères du gouvernement américain en Europe.

La campagne électorale de Barack Obama a était fondée sur l’idée du changement et tous les espoirs sont permis. Il y aura pourtant beaucoup de pression des différents côtés du débat sur la position internationale des Etats-Unis. Il est à espérer que ses décisions se baseront sur une pensée plus globale que la position traditionnellement égocentrique américaine.

4 novembre 2008

Le monde selon Monsanto

monsantoC.D.

Dans le cours de journalisme de 5e secondaire, nous avons visionné le film Le monde selon Monsanto. Ce film réalisé par Marie-Monique Robin en Mars 2008.Malgré des longueurs, des images peu captivantes et des discussions sur un ton plutôt monotone, le film réussi a livré un message percutant.

Ce documentaire dénonce un des plus grand leader mondiaux des biotechnologies particulièrement sa contribution dans le marché des OGM. Devenant le premier semencier du monde, Monsanto pourrait éventuellement contrôler toute la chaîne alimentaire. Ce documentaire démontre que la préoccupation principale est d’augmenter la productivité et le potentiel lucratif. La volonté de sauvegarder l’environnement et d’éviter des impacts négatifs sur les êtres humains n’est nullement comparable au pouvoir des profits. Comme par exemple dans l’état de l’Alabama il y avait un district pauvre qui mourrait de cancer à cause de l’enfouissement des PCB et les autorités en avait été informés, mais ne sont pas intervenus. Dans une entrevue avec le président d’un groupe environnemental Ken Cook affirme que les compagnies ne peuvent risqués de perde des profits en divulguant des informations sur les conséquences de leur produits. Le documentaire présente une entrevue avec  l’ex secrétaire américain de l’agriculture en office au moment ou les fèves de soya résistante aux herbicides on été approuvé. M.Glickman affirme qu’il subissait d’énorme pression du milieu politique aussi bien que du milieu industrielle pour approuvé rapidement sans trop questionner les avancements biotechnologiques.

Dans un contexte d’avancement rapide des modifications génétiques existent une controverse importante. Ce film représente un côté de ce débat par une mise en garde et une dénonciation de l’absence de respect des valeurs humaine. Madame Robin se donne pour mission de sonner l’alarme afin d’éveillé la conscience publique et d’éviter la réglementation favorisant les biotechnologies sans opposition.

Le monde de Monsanto est le septième film réalisé par Marie-Monique Robin. L’ensemble de son œuvre porte se sujet qui lui tient à cœur comme en témoignent les titres de ses autres films, par exemple « Argentine, le soja de la faim » et  « Le blé : chronique d’une mort annoncée ».

La lenteur du film, les images non captivant et le ton monotone des exposés ne fera pas gagner le prix de popularité à ce film pour les élèves de 5e secondaire.  Voir madame Robin chercher de l’information sur l’internet pendant une grande partie du film, d’ailleurs je la trouvais pas mal habile à trouver de l’information sur google, enlevait de la crédibilité au documentaire. Heureusement les entrevues donnaient un côté sérieux et crédible au documentaire. Malgré tout le but du film étant de sonner l’alarme au sujet des dangers des biotechnologies sur l’environnement et sur la sécurité de la population mondiale.

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27 octobre 2008

Le retour de Chris Higgins

higginsB.

Beaucoup de citoyens Montréalais ont été déçu d’être victime de la première défaite en tant réglementaire du Canadiens de Montréal. Cette défaite, selon Guy Carbonneau, entraineur en chef du Tricolore, a été due à la punition de Alex Kovalev qui a été le point tournant de cette rencontre. Le Tricolore s’est incliné contre les Ducks par le score de 6-4.

En effet, c’était le retour tant attendu de Christopher Higgins. Lui qui revenait d’une blessure à l’aine. Il a donné une très bonne performance à l’exception du revirement dont il a été victime et qui a mené au deuxième but des Ducks. Chris Higgins affirme qu’il a disputé un très bon match, qu’il n’a pas toujours pris les meilleurs décisions, mais qu’il a quand même réussi a créé des occasions de marquer. Carbonneau affirme lui aussi qu’il était très fier de la performance de son joueur et qu’il était souvent dans le milieu de l’action.

27 octobre 2008

Un dénouement malheureux

cot_A.

Pouvez-vous vous imaginez? Vous avez acheter le match sur Payperview, vous avez invité tous vos bons amis et même les moins bons, commander des tonnes d’ailles de poulet, dix pizza jumbo et quelque caisses de bières pour finalement regarder le match entre Patrick Côté et Anderson Silva. L’atmosphère est électrisante tout le monde à hâte de voir le Québécois à son meilleur. D’ailleurs, on s’en parle depuis plus d’un mois. Puis après deux rondes et 39 secondes, notre favori s’est incliné par KO Technique. Il vous reste une demie tonne d’ailles de poulet, six pizza jumbo, une caisse de bière et des amis bons et surtout moins bons qui refuse de payer leurs parts des dépenses de la soirée.

C’était ce samedi que le Québécois Patrick Côté tentait de devenir le deuxième Québecois, après Georges St-Pierre, à remporter une ceinture du Ultimate Fighting Championship. Il a avait la dure tache de vaincre le meilleur combattant livre pour livre au monde. Par contre, le malheur ne s’est pas seulement acharné sur vous. En effet, Patrick Côté a été victime d’une grande malchance lorsqu’il s’est blessé au genou droit durant la troisième ronde et il a dû s’incliner par KO Technique. Après le combat, Silva a demander à la foule de ne pas huer le natif de Rimouski à cause qu’il s’avait très bien préparé pour se combat et qu’une blessure au genou est seulement qu’une malchance.

Dans notre déception, nous pouvons être quand même très fier de notre Québécois qui est le premier à avoir survit jusqu’à la troisième ronde contre l’invaincu Anderson Silva.

20 octobre 2008

Et l’espoir renaît…

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invaincu13-14- Après un début un peu inquiétant avec une défaite en tir de barrage, le tricolore a répliqué avec quatre victoires d’affilée.

En effet, le match des Canadiens contre les Leafs de Toronto s’est terminé par un victoire écrasante du tricolore. Ils ont remporté la match par la marque de 6 à 1.Dès la première période, l’équipe de Guy Carbonneau a démontré sa supériorité en prenant une avance de deux buts, grâce aux .buts de Roman Hamrlik et de A.K 27. Les Canadiens ont poursuivi avec trois buts en début de période pour amener le score à 5 à 0. Le match s’est terminé par un but de Guillaume Latendresse. Un match très encourageant pour les Habs avec 4 points d’Alex Tanguay le nouveau joueur du tricolore qui avait été très décevant à son premier match.

Les Canadiens ont également gagné le dernier match de leur voyage par le score de 5 à 3 contre les Flyers à Philadelphie. Ils tiraient de l’arrière par 1 but après la deuxième période et ils ont remonté le score avec trois buts consécutifs. On a eu droit à une excellente performance de Carey Price qui s’est mérité la troisième étoile et de l’ailier de première ligne Andrei Kostisyn qui s’est mérité la première étoile.

Fort de ses deux victoires, le Canadien est revenu à Montréal pour le match d’ouverture qui, à l’occasion du centenaire du Canadien,  a débuté par une grande célébration. On a fait la présentation de plusieurs légendes qui ont évolué dans l’uniforme du Canadien, entre autres : le défenseur étoile Larry Robinson, le gérant général actuel du Canadien, Bob Gainey et Henri Pocket Richard gagnant de 11 Coupe Stanley.

Après un peu plus de deux minutes de jeu George Laraque a jeté les gants et a fait match nul. Laraque a été un peu décevant lui qui est réputé comme l’homme le plus fort de la ligue. Par contre, cette  fin de première période a été explosive avec trois buts dans les derniers cinq minutes de la période. Malheureusement, les Bruins ont fait duré le suspense en amenant ce match en tirs de barrage ce qui a rendu le match encore plus excitant pour les 21 273 téléspectateurs. Alex Tanguay et Carey Price ont été les héros de cette fusillade.

Pouvons-nous espérer être champions de la Conférence de l’est ou même remporter la Coupe Stanley, c’est peut-être trop tôt pour le savoir, mais on peut continuer à y croire.

Go Habs Go!!!!!!!!!!!!

20 octobre 2008

Une défaite fait naître l’ombre d’un doute

11-12-  Les attentes étaient énormes pour la saison 2008-2009 c’est-à-dire le centenaire du Canadien de Montréal. Durant l’été, le gérant général du Canadien a été assez actif. En effet, Bob Gainey a fait l’acquisition de l’ailier gauche, Alex Tanguay, qui amène vitesse et  profondeur de jeu. Il a aussi fait l’acquisition du dur à cuire George Laraque et du centre Robert Lang. Ce nouvel alignement augmentait encore les attentes déjà très élevées. Plusieurs voyaient les Canadiens devenir champions de la Conférence de l’est et participer à la finale de la Coupe Stanley contre les champions en titre, les Red Wings de Détroit.

La saison 2008-2009 a débuté hier au HSBC Arena à Buffalo où les Canadiens de Montréal affrontaient les Sabres dans leur match d’ouverture. Le Canadien s’est incliné en tirs de barrage par une marque de 2-1. La partie avait, tout de même, plutôt bien commencé avec le premier but de Robert Lang avec la formation du tricolore, assisté du robuste Tom Kostopoulos et du défenseur étoile Andrei Markov. Malheureusement, quelques minutes plus tard, les Sabres ont répliqué et le score était un à un. L’erreur de Mike Komisarek suivi d’un plongeon mal calculé d’Andrei Markov ont été les causes principales du but de Thomas Vanek.

À son premier match avec sa nouvelle formation, on peut dire qu’Alex Tanguay a été plutôt décevant. Dans une entrevue accordée entre la première et la deuxième période, Tanguay a affirmé être très nerveux.

Tanguay n’a pas été le seul joueur à figurer au rang des performances décevantes, hier soir. On peut aussi dire que le trio de Kovalev n’était vraiment pas à son mieux avec une performance de 0 point pour un trio formé de Thomas Plekanec qui avait inscrit 64 points la saison dernière, de Andrei Kostitisyn qui en avait inscrit 53 et évidemment d’Alex Kovalev qui avait terminé la saison précédente avec un total de 84 points.

Cette défaite au premier match a fait naître un doute chez les partisans des Habs qui voyaient déjà la Coupe à Montréal. De même plusieurs joueurs du tricolore se sont dits déçus. Par contre, cet avis n’est pas partagé par  l’entraîneur chef, Guy Carbonneau. En effet, Carbo affirme être fier de ses joueurs et de l’effort qu’ils ont donnés. Il attribue à la nervosité les chances de marquer manquées par son équipe.

Demain soir, le tricolore affronte les Leafs à Toronto et Carbo se dit très confiant à la veille de ce match Espérons que cette confrontation saura faire renaître la confiance inébranlable des fans. gaustad

5 octobre 2008

Y-a-t-il un vrai vainqueur

9-10- d_bat_anglaisCette semaine, nous avions deux soirées excitantes en vue, mercredi, le débat des chefs en français et jeudi le débat en anglais. En tant que premier ministre, Stephen Harper a été la cible des attaques de tous les autres chefs, ce qui l’a forcé à être sur la défensive. Bien qu’il se soit bien défendu sa performance n’était pas à la hauteur d’un premier ministre qui cherche une majorité.

Les sujets qui ont marqué ce débat sont : l’économie, les arts, la santé et la criminalité.

Par rapport à l’économie tous les chefs des partis de l’opposition ont accusé Harper d’avoir une politique de laisser-faire. De même, ils ont tous exprimé la crainte qu’un Canada conservateur, par ses politiques semblables à celles des États-Unis, vivra une récession comme celle de nos voisins du sud. Harper a nié à plusieurs reprises que le Canada tomberait en récession comme les Etats-Unis bien qu’il n’était pas tout à fait clair comment éviterait la récession.

Au sujet de la santé, le Nouveau Parti Démocratique propose de former 1000 médecins et 6000 infirmières supplémentaires par an et de rembourser la dette des étudiants en médecine en autant qu’ils pratiquent en médecine familiale pendant dix ans. Selon Elizabeth May, plusieurs accords internationaux, dont l’ALENA, exercent une pression sur le système public de santé.

Harper a  été particulièrement attaqué au sujet des arts, accusé d’être un ennemi des arts à cause des compressions budgétaires dans le domaine de la culture, annoncées récemment par son gouvernement. La discussion a pris des allures idéologiques plutôt que de pistes de solution. Par contre,  le chef libéral a promis de doubler le budget alloué au conseil des arts et le chef néo-démocrate a proposé d’augmenter à 20 000 $ les déductions d’impôts.

Une autre position que Stephen Harper a dû continuellement défendre est les peines sévères sur les jeunes contrevenants. Stephen Harper a dit qu’il se préoccupe de la hausse des crimes, dont ceux perpétrés par les gangs de rues. Par contre, le chef du parti libéral opte pour une toute autre direction c’est-à-dire que Dion propose de miser sur la prévention des crimes, une position soutenue par Layton et May.

À mon avis de néo-démocrate, Layton nous a bien montré que son parti avait les compétences pour devenir le nouveau parti d’opposition. Elizabeth May a démontré que son parti était plus qu’un simple petit parti pour l’environnement. Dion, dont la performance avait été plutôt bonne en français, a été particulièrement décevant dans le débat en anglais. Dans le cas d’Harper, son charisme fait peut-être oublier la base capitaliste de sa pensée. En ce qui concerne Ducceppe, les adeptes étaient convaincus avant même le débat. En fait, peu importe qui on croit être le vainqueur, il est peu probable que le débat aura un impact déterminant sur les résultats de l’élection.

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